Mercredi 21 mai 3 21 /05 /Mai 01:38

1 Mes vacances chez mon oncle
 
 

 

Tout a commence l’été de mes 16 ans. Comme chaque année, j’allais passer mes deux mois de vacances chez mon oncle Luc.

Lui avait alors 40 ans. je savais qu’il était le Directeur d’une societe chargée de spectacles, société installée a Paris. En été,

Luc venait toujours passer juillet et août dans sa grande villa de l’arrière pays niçois. Depuis mes dix ans, il m’invitait dans cette belle villa provençale, éloignée de deux ou trois kilomètres de la cote. Jusqu'à mes treize ans, ma tante était avec lui. C’était une grande et belle jeune femme, tours vêtue et maquillée d’une façon provocante. Puis, une année, après une terrible dispute, ma tante était partie avec un riche italien qu’elle avait rencontre lors d’une soirée réunissant des notables de la région et des propriétaires, groupe dont mon oncle et sa femme faisaient partie. . Elle avait tout laisse du jour au lendemain.

Même seul, mon oncle tenait a m’inviter. Il me trouvait très vaillant dans son jardin. Je m’en occupais avec plaisir, environ deux a trois heures par jour, le matin.

Lui faisait la plupart du temps la grasse matinée. Il arrivait vers les dix heures sur le balcon de la terrasse, de sa chambre. Il m’appelait pour partager le café avec lui, puis il lisait la presse quotidienne ou les magasines que le facteur lui avait glisses dans la boite aux lettres. Pendant que nous prenions le café, il proposait un déjeuner que lui ou moi nous préparions a la cuisine ou sur le barbecue, sous l’ombre bienveillante d’un châtaigner centenaire. Nous nous installions a l’ombre de ce bel arbre et il dressait le planning de notre après midi toujours très chargé. Nous le passions en effet a la pêche en mer, sur son bateau a moteur, ou a la plage, dans uns salle de squash, ou sur un court de tennis.. Parfois, le soir, quand son groupe d’amis était la,  il m’autorisait a veiller jusqu'à dix heures du soir. Puis ‘Allez petit ! Au lit ! » suffisait pour partir profiter de ma nuit reposante.

 

 

2 A 16 ans, mon arrivée a la gare de Nice – Premier baiser

 

Cette année la, je venais donc d’avoir 16 ans. Il était venu me chercher a la gare de Nice, avec une Ford décapotable. En me voyant, sorti en dernier du train en provenance de Marseille, cheveux blonds et longs jusqu’aux épaules, déjà dore par un séjour dans les Alpes, en short et sac a dos, souriant, content de le retrouver, il avait poussé un cri d’admiration du type : « Wouaou…le beau mec que voila »et pour me chahuter, comme il le faisait souvent, il avait rajoute en se penchant sur moi pour m’embrasser : « Oh pardon, la belle fille blonde que voici »..J’adorais toujours plaisanter avec lui. Un sourire radieux éclaira mon visage. Je mesure 1,78 mètre. J’étais mince (je le suis encore…), presque imberbe. Comme il mesurait bien 15 cm de plus que moi, je m’étais hisse sur la pointe de mes pieds, avais fait en sorte de passer une mèche de cheveux devant mes yeux, pour jouer a la fille espiègle en le regardant droit dans les yeux,  j’avais passe mes mains autour de son cou, une allant dans son dos, l’autre lui remontant lentement dans la nuque, ongle tendus sur sa peau basanée ; je lui avais rendu un sourire boudeur, puis je m’étais frotte a son bas ventre, ondulant mes fesses d’un cote a l’autre, en lui susurrant a l’oreille : « oui je suis ta belle blonde et c’est toi le beau mec, mon chéri, … ». Je comptais me séparer de lui, terminant ainsi cette plaisanterie de notre début d’été, mais un évènement inattendu se produisit alors : ses deux mains chaudes passèrent délicatement en bas de mon sac a dos, puis descendirent tendrement sous mon short, en contact direct avec la peau de mes fesses. Elles frissonnèrent sous l’emprise  de ces mains douces et caressantes. Il me serra un peu plus contre lui, la courbe de ses mains épousant celle de mes fesses cambrées a souhait. Sur l’ensemble de mon corps, je sentis la chair de poule passer de mes fesses, a mon dos, puis recouvrir mes bras en même temps que mes cuisses puis mes jambes. Je sentis alors son sexe et le mien durcir simultanément. On les devinait tous les deux, parallèles, l’un a l’autre, l’un contre l’autre. Il se pressa un peu plus contre moi en tirant vers lui mon postérieur. Je me laissais faire. Alors que nous étions joue contre joue, il recula sa face et m’embrassa sur la bouche, me mordilla mes lèvres. Je me mis a soupirer de plaisir. Il sentit mon émoi. Arrêta un moment, puis reprit de plus belle, en me murmurant « comment va ma petite chatte ? Hein ? cette année je sens que l’on va s’amuser tous les deux, on va s’exciter, se réchauffer… » Ses mots, sa bouche et ses mains me comblaient. Il passa sa langue dans ma bouche et m’embrassa.

 

Allez viens dit il. Il m’enleva délicatement mon sac a dos, me passa son bras libre autour de la taille , prit ma main contre lui autour de la sienne, et comme a mes dix ans, il m’emmena a sa voiture.

3 En voiture, une première « mise en bouche »

 

Nous roulions depuis quelques minutes. Une musique suave emplissait l’air. Il me regarda en souriant. ‘Incroyable ce que tu as change » dit il en souriant. Il regarda mes cuisses nues. Il posa sa main sur l’une d’elle et la caressa. « oh mais tu as des petits poils ma chérie. Il va falloir arranger tout ça. Mais d’abord tu va te prendre une bonne douche à la maison. En parlant, sa main allait et venait sur ma cuisse gauche. Ce qu’il appelait poils était encore un fin duvet. Au lieu de lui dire « arrête » je me surpris a écarter mes cuisses et comme je m’y attendais sa main s’infiltra entre mon short et ma cuisse. Elle se posa sur mon sexe. Il murmura : « mmm dis moi ….qui est le plus excite de nous deux ? » En même temps il pris ma main gauche et la posa sur la braguette de son pantalon. Je sentis a travers l’étoffe comme une pierre. Une pierre cylindrique. Je me mis à la caresser de bas en haut, puis de haut en bas. Son coup d’œil dans le rétroviseur le conforta pour me demander : « suce moi chéri ». Alors délicatement, j’ouvris son pantalon, passa ma main dan s son slip, sortis sa verge, longue, dure, gonflée de plaisir. Je me mis a genoux sur mon siège. Son lecteur de CD passait Only you des Platters.
 J’entamais la première fellation de ma vie, avec un savoir faire que j’ignorais jusqu’alors Nous étions seuls sur l’autoroute de la cote d’azur. Luc gémissait chaque fois que ma langue enroulait son sexe ou lui en titillait l’extrémité. De sa main droite, il baissa mon short et mon slip. Je sentais a la fois l’air et ses mains passer sur les fesses, qu’il flattait en murmurant «Quel beau cul de salope ». Puis il porta ses doigts a la bouche et l’un d’eux, tout mouille, dans un mouvement rotatif lent, appuyant un peu plus fort et un peu plus loin au même passage de chaque tour, s’enfonça en moi. Il continua de le tourner, le faire vibrer. Puis soudain, il le sortit. Me redressa lentement le menton, m’amena a me remettre assise. « Sage ! Sage ! Ma chérie, on traverse le village… patience !»

Apres quelques minutes j’aperçus le grand châtaigner et la blanche bastide. La voiture s’arrêta dans les graviers.

Preparation dans la salle de bain

 

Luc, a l’allure tres sportive, sauta hors de sa voiture, prit mon sac de son coffre.. Allez hop Chéri, viens je vais te montrer ta chambre. Il déverrouilla la serrure électrique et alarme de la villa. L’entrée donnait dans une vaste pièce, le salon, de forme hexagonale. Un grand canapé de cuir rouge en forme de demi cercle était entoure de tapis orientaux. Une des cloisons de près de cinq mètres, constituait un cote de l’hexagone. Elle était désormais un immense miroir qui semblait doubler la surface de cette pièce déjà immense. .Je n’eus que le temps de jeter un rapide coup d’œil a cette nouveaute. Il me pris la main, monta avec moi les escaliers. Il me montra sa chambre et me dit ? Cette année, ta chambre est la…oui…tu va dormir avec moi…D’accord ? En réponse je lui donnai un baiser furtif sur ses lèvres.. J’allais recommencer à le taquiner en me frottant contre lui lorsqu’il intervint. Attends, attends ma chérie….Je veux ralentir un peu notre départ tonitruant. Viens dans la salle de bains, je vais te montrer ». Il passa dans l’immense salle de bains toute de marbre blanc. Il ouvrit un large coffret de maquillage et il ajouta. « Tiens, maquille toi. Je veux que tu te transformes en femme fatale. Tu as une heure pour le faire. Tiens aussi de petit livret conseil pour que tu n’hésites pas trop. Tu verras, c’est facile. ». Il ouvrit un placard. Dedans de nombreuses robes étaient suspendues. Je devinais vite, dans des tiroirs entrouverts, des bas, body et plus bas, plusieurs paires d’escarpins formaient une symphonie de couleurs. Sur l’étagère du haut, une perruque aux longs cheveux roux et une autre aux cheveux blonds étaient posées sur deux bustes de polystyrène. 

« Allez je te laisse…Dans une heure je t’appelle. Je te veux sexy, érotique…et je te donnerai autre chose pour que tu le sois encore plus… « Tourne toi ! » me lanca-t-il il. Et alors que je nous regardais dans le miroir, il me pris les épaules, pencha son visage et me mordilla le cou. Frissons. « Allez je m’en vais. Verrouille ta porte sinon, je vais commettre un viol » dit il en riant. Il sortit de la salle d’eaux. Je tournai le verrou dore.

 

J’étais au milieu de ce marbre blanc, en face d’un grand miroir qui renvoyait les images des robes, chaussures et cette mallette grise. A la fois excitée par tout ce que je venais de vivre, presque hésitante néanmoins a aller de l’avant. Mon oncle était il devenu fou ? Et moi ? Qu’étaient donc tous ces frissons qui avaient balayaient mon corps en me procurant tant de plaisir ?

Un gros tube de crème dominait les autres, une crème épilatoire. Je pensais a la réflexion de mon oncle quand il m’avait caressé les cuisses et aussitôt, je décidais d’éliminer ce qui avait éveillé sa seule remarque négative de la matinée.

Je me mis tout nu, toute nue, devant le miroir, m’assit sur un tabouret, posa ma montre sur une console, et commença a étaler la crème copieusement sur les jambes, mes avant bras. Une seule zone restait poilue alors, celle du pubis. Je décidai de la traiter et m’enduisit de crème.

Il fallait laisser agir 10 minutes. Je pris le temps de lire le petit document qui résumait parfaitement l’art pour une femme de se maquiller en mettant en valeur les points positifs et en masquant ceux qui le sont moins.

 

Environ une demie heure plus tard, le miroir renvoyait de moi une image dont je ne revenais pas moi-même. La peau de mon corps était d’une couleur naturelle uniforme. Mon pubis, lisse était d’une douceur sublime, tout comme mes fesses bombées et fermes, dépourvues de tout poil.. Mes yeux en amandes étaient agrandis par un coup de crayon blanc sur la partie interne basse de l’œil et un dégrade de plus clair a plus fonce qui partait du coin interne de chaque œil et remontait vers la partie externe, juste au commencement de chaque tempe. Un trait noir se terminait très effilé. Le bleu foncé externe était surmonté d’un marron pailleté de dore donnant un air de fête a l’ensemble. La couleur ambre de mes joues, le ton clair entourant mes yeux allaient de pair avec mes lèvres rendues soudain plus sensuelles parce que épaissies avec un coup de crayon a lèvres brun. Il éloignait bien de trois millimètres la limite de ma lèvre inférieure et supérieure. J’avais fait en sorte que le dessin de ma bouche épaisse donne l’impression d’un léger sourire. Le sourire était a la fois boudeur, énigmatique, enjôleur,…

   

Voila quarante minutes que je me préparais. J’étais en train de vaporiser sur mon corps des nuages du parfum Samsara de Guerlain, quand Luc, mon oncle, tapa à la porte. « Ouvre ma chérie, je t’amène quelque chose qui va te faire du bien… ». J’ouvris le verrou de la salle de bain et entrouvris la porte. Sans se montrer, Luc glissa une assiette de céramique bleue foncée sur le sol de la salle de bains. Au milieu de l’assiette, un morceau de paille rose côtoyait une ligne de même longueur, disons huit centimètres, de poudre blanche. « Ma chérie, tu fermes avec l’index de la main gauche ta narine du même cote ; avec l’autre main, tu prends la paille, tu la mets dans la narine ouverte et tu inspires la bande de poudre  par cette narine en allant tout au long de la ligne, sans t’arrêter. Compris ma chérie ? Je répondis en souriant « compris mon chéri ».

 

Je me mis a genou et suivis ses conseils. Apres avoir profondément expire, et tenant la paille entre la ligne et une de mes narines, bouchant l’autre, je me mis a fortement inspirer,

Immédiatement, je me sentis bien. Très détendue. Je pris un tube de crème parfumée et m’en étalai sur le ventre, les épaules, les fesses.

Alors que mes mains se faisaient caressantes sur mon corps lisse mais devenu crémeux, j’eus soudain envie d’être très provocante, très femme…

Des sachets de bas emplissaient une des corbeilles de l’étagère du placard. Des bas qui tenaient tout seuls en haut des cuisses. J’ouvris délicatement un emballage de bas noir. Et avec précaution, l’un après l’autre j’enfilai mon pied dans l’ouverture du bas pour le faire glisser en haut de mes cuisses. Ils étaient doux, caressants, C’était des bas de soie et lycra. A chaque passage sur mes cuisses, je croyais sentir la main effrontée mais si douce de mon oncle.

Un détail était a régler : la dissimulation de mon sexe. Il fallait que j’aille vite. C’était sans doute cette fameuse poudre blanche qui m’enlevait toute inhibition et me faisait dépêcher pour aller au plus tôt retrouver mon oncle. Je trouvais un string très élastique, large sur le devant, a rayures dorées et noires. Je l’enfilais prestement. Un soutien gorge de mêmes couleurs, avec de belles formes formant une petite poitrine excitante sur mon torse nu compléta la partie sous vêtement  Puis, j’enfilai sans difficulté les escarpins noirs que jadis, j’avais aperçus aux pieds de ma tante.

Maintenant, dans le miroir, une haute créature mince, souple, au cul rebondi et ferme, au sourire énigmatique, me regardait. C’était moi !

Je me souris, passa ma langue sur ma lèvre inférieure.

J’avais l’impression d’avoir devant moi une jeune femme très tournée sur le sexe, l’érotisme. Je posai mes deux mains l’une contre l’autre sur le lavabo. Lentement je ondulais des hanches, j’avais envie de partir sucer son sexe, de sentir ses mains sur moi, son doigt en moi, son sexe entrer en moi. J’enfilai une mini robe tres moulante rouge, ajourée largement sur les deux cotes.. Les ouvertures laissaient deviner mon string et le soutien gorge. Je me mis avec soin a brosser la perruque de long cheveux roux puis l’enfila….Extraordinaire moment que de découvrir le résultat de cette heure de soins personnels. Je fis en sorte de tirer l’ensemble des cheveux roux sur le cote droit. Sur le cote gauche ils recouvraient en passant mon oreille. Dans la boite a bijoux, je trouvai deux boucles d’oreille de type gitane, rouge comme la robe.

Une musique très sexy, celle de Don’t cha des Pussycats dolls retentit dans le salon. Je souris devant le miroir . Haut perchée sur mes escarpins, j’ouvris sans bruit la porte de la salle de bains et pénétra dans le salon, en direction de son grand miroir….

 

 

Suite Bientot   Bises     Jennifera75@hotmail.fr

Par Jennifer Aparis
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus